Session de remise à niveau depuis ce lundi 29 juillet 2019 pour les chauffeurs du Fonds d'Intervention pour l'Environnement (FIE), ils ont à échanger et à apprendre sur le thème : « Perfectionnement à la conduite rationnelle axée sur les règles de sécurité et relations Chauffeur-Autorité-Déontologie du métier de chauffeur ».
Cette formation a été jugée nécessaire par le FIE après identification par la Direction des Ressources Humaines des besoins de renforcement des capacités de ces agents dont quelques unes des attributions sont d'entretenir et de conduire les véhicules de la structure pour une exécution parfaite de ses missions.
Après quelques jours de travaux, les conducteurs du siège et des directions régionales du FIE devront faire leurs ces propos d'un devancier dans le domaine qui disait que : « Savoir conduire une voiture n’est qu’une compétence qui s’acquiert par l’apprentissage et par la pratique. Etre un chauffeur est plus que conduire, c’est aussi se conduire. La prudence est la première qualité du chauffeur professionnel. L’endurance est aussi importante pour résister à la pression et répondre en temps à l’appel de la mission. Etre jovial et sociable peut aussi faire la différence. Les réflexes d’un bon chauffeur consistent à vérifier régulièrement les documents du véhicule pour savoir s’ils sont à jour et assurer l’entretien mécanique de la voiture. Pour tirer un avantage du potentiel de la voiture, il faut être constamment à son écoute et en prendre soin comme on le fait pour son propre corps. Un chauffeur professionnel est aussi un bon agent de liaison et un confident pour ses patrons. Le chauffeur est avant tout celui qui a en charge des vies et qui veille à les protéger contre les dangers de la route. Sa responsabilité sociale est très grande non seulement pour les occupants de sa voiture mais aussi pour les autres usagers de la voie publique. Toute négligence de la part d’un chauffeur peut causer des drames irréparables. Etre chauffeur, c’est être responsable » Seydou Stanislas Kafando, Chauffeur/IPD-AOS (Extrait copié sur le site de l'Institut).
Amadou Oury SANOU